Manger du poisson rend intelligent

Manger du poisson rend intelligent
Extrait de l'article: La consommation régulière de poisson semble exercer un effet favorable sur les fonctions cognitives, et en particulier sur le rythme de leur déclin. Les résultats publiés dans la revue « Scientific Reports », et dans le journal de pédiatrie « Acta Pa

La consommation régulière de poisson semble exercer un effet favorable sur les fonctions cognitives, et en particulier sur le rythme de leur déclin. Les résultats publiés dans la revue « Scientific Reports », et dans le journal de pédiatrie « Acta Paediatrica » ont montré que les jeunes qui mangent du poisson au moins une fois par semaine obtiennent des scores de QI fois plus élevés que ceux qui ne consomment pas des produits de la mer au moins une fois par mois. En termes de QI, leurs capacités de calcul, leur compréhension, ainsi que leur capacité à organiser des images et à classer des symboles se développent. Ils ont aussi des taux plus faibles de troubles du sommeil. Ils dorment mieux.

La consommation du poisson a des effets positifs sur la santé, en particulier chez les enfants.  Le poisson doit faire partie de la nourriture des enfants dès l'âge de deux ans. Manger des poissons gras, riches en acides gras oméga-3 joue un rôle dans la croissance et dans le développement du tissu nerveux, ce qui peut améliorer l'intelligence.  Les acides gras jouent également un rôle dans la production de la mélatonine, qui régule le sommeil et l'éveil. D’après les chercheurs, les femmes enceintes mangeant des poissons gras, riches en acides gras oméga-3, peuvent protéger leurs enfants contre l'asthme pendant l'enfance.   Les acides gras oméga-3 sont présents dans les poissons gras tels que le saumon, le maquereau, la sardine, et l'huile de poisson.

Jean ELI

Auteur
santé éducation
Rédacteur
Abel OZIH

La consommation régulière de poisson semble exercer un effet favorable sur les fonctions cognitives, et en particulier sur le rythme de leur déclin. Les résultats publiés dans la revue « Scientific Reports », et dans le journal de pédiatrie « Acta Pa

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