Une nuit blanche égale à 6 mois de consommation de gras

Une nuit blanche égale à 6 mois de consommation de gras
Extrait de l'article: Passer des nuits blanches a des conséquences néfastes sur l’organisme humain et entraîne des troubles de la santé. Néanmoins, des spécialistes suédois de l’Université d’Uppsala et américains du centre médical du

Passer des nuits blanches a des conséquences néfastes sur l’organisme humain et entraîne des troubles de la santé. Néanmoins, des spécialistes suédois de l’Université d’Uppsala et américains du centre médical du Cedars-Sinaï de Los Angeles ont révélé un autre danger. Selon leur étude, une privation de sommeil revient à consommer des aliments gras pendant 6 mois.

En cause ? L’insuline, cette hormone influant sur la régulation du tissu adipeux, la masse grasse. Quand le corps devient « résistant » à l'insuline, il est obligé d'en produire davantage pour maintenir le taux de glycémie à un niveau stable. Cela peut éventuellement mener à un diabète de type 2. Les individus obèses sont plus susceptibles de développer une résistance à l'insuline et conséquemment, à développer un diabète. Cette recherche démontre l'importance de bien dormir pour maintenir les niveaux de glycémie et réduire les risques de maladies métaboliques comme l'obésité et le diabète.

Le manque de sommeil même s’il ne s’agissait que d’une seule nuit influence le déficit musculaire et favorise l’obésité. Cela fait que les lipides commencent à s’accumuler tandis que les muscles montrent les premiers signes de dégradation. Ce qui est lié avec la possibilité réduite d’utiliser le glucose circulant dans le sang. Selon les chercheurs, ces informations aideront à comprendre pourquoi les troubles du sommeil augmentent les risques d’obésité ainsi que le développement du diabète non insulino-dépendant.

Source : Cnews


Auteur
santé éducation
Rédacteur
Abel OZIH

Passer des nuits blanches a des conséquences néfastes sur l’organisme humain et entraîne des troubles de la santé. Néanmoins, des spécialistes suédois de l’Université d’Uppsala et américains du centre médical du

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